L’Association Charles Gravelle est née en 2004.
Une association dont l’origine et le nom remontent à presque un siècle. Elle s’appelait alors Fondation Gravelle et, en collaboration non sectaire avec des institutions religieuses et Sa Majesté le Roi Sisowath, prenait en mains la destinée d’enfants orphelins métis abandonnés.
Le Cambodge était alors un Protectorat et, si la France n’a pas pu ou pas su être à la hauteur de sa tâche, un particulier, Charles Gravelle, alors Président de la Société de Protection de l’enfance entreprit de démarcher ses amis afin de créer une Fondation.
Une Fondation qui regrouperait en son sein toutes les volontés, qu’elles soient privées ou publiques. Qu’elles soient françaises ou cambodgiennes, pourvu que le but en soit le bien et le meilleur pour ces orphelins.
Qui sommes-nous ? Nous sommes, nous fondateurs de cette Association, les petits-enfants de Charles Gravelle. Epoux ou épouses de ses petits-enfants. Enfants de ses petits-enfants.
Charles Gravelle avait semé l’esprit œcuménique et le cœur chez ses enfants. Ses enfants ont su le transmettre à leurs propres enfants.
Les tristes évènements de 1975 ont mis fin à la Fondation. Aujourd’hui, les petits-enfants ont décidé de relever le flambeau.
Nous avons rencontré un homme de cœur, un prêtre qui œuvre au Cambodge depuis toujours. Dans son premier éditorial, notre cousin Alain Gravelle et Président, évoquait le travail du Père François Ponchaud. C’est le plus khmer de tous les « barang ». Il parle et écrit le cambodgien comme si c’était sa langue maternelle !
Il aide de toutes ses forces les cambodgiens dans leurs batailles quotidiennes. Contre la désespérance, contre la faim, l’illettrisme, la maladie.
Il nous a confié des missions qu’il a jugées urgentes.
Ces urgences ont été :
Où allons-nous ?
Nous serons là où les plus démunis auront besoin de nous. Là où nous irons, nous n’irons pas seuls, nous irons avec vous !
«Certains veulent que ça arrive, d’autres aimeraient que ça arrive, et les autres font que ça arrive» Michael Jordan.
Soyons ceux qui font que ça arrive !